Le musée de la vie populaire, l’un des plus importants de ce type en Belgique, est hébergé dans un ancien hôtel-Dieu du. Celui-ci, désigné par Kinderen Alijnshospitaal ou encore par Sint-Catharinahospitaal, joyau du quartier Patershol, se compose de 18 maisonnettes rangées autour d’un patio. Il fut construit dans la deuxième moitié du par la famille Rijm pour se racheter, auprès du comte Louis de Male, du meurtre, perpétré en raison d’une querelle familiale, des deux fils Alijn dans la cathédrale quelques années auparavant; la condition de la grâce comtale en effet portait que devait être construit un hôtel-Dieu pour 18 femmes vieilles et indigentes. Au, alors que l’hospice se trouvait fort délabré, deux autres familles patriciennes entreprirent de le restaurer, firent construire huit maisons-Dieu supplémentaires, et ajoutèrent, en 1543, une chapelle . Après le départ des derniers pensionnaires en 1863, l’hospice fut vendu en 1883 et changé en cour d’habitation, et la chapelle en atelier de menuiserie.Racheté par la municipalité en 1941, et restauré avec bonheur en 1962, l’hospice Alijn accueille depuis cette date le musée de la vie populaire, successeur de l’ancien musée de folklore, fondé en 1932. Le musée entend donner un aperçu de la vie quotidienne du petit peuple en milieu urbain aux alentours de 1900 ; depuis peu cependant, le musée tend aussi à étendre son propos à des périodes plus récentes. Le circuit conduit le visiteur de maisonnette en maisonnette, et lui fait découvrir tour à tour les quatre départements dont se compose le musée; ce sont :
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