Louis de Potter. Révolutionnaire Belge en 1830. C’est l’histoire d’un des pères fondateurs de la Belgique
Louis de Potter, journaliste engagé, enflamma les esprits par ses articles pleins de cet espoir dont le pays avait tant besoin avant la révolution de 1830. En quelques mois, il fut propulsé par les « Belges » au sommet d’une nouvelle nation autour de Bruxelles.
Admirateur de la république aristocratique de Florence, il surprit sa vieille famille par des valeurs nouvelles et fut emprisonné pour l’embrasement qu’il causa. Les rebelles et lui, sous sa bannière l’Union fait la Force, firent libérer le pays depuis sa prison.
Devenu un tribun, porte-drapeau des opprimés dans les media, il fut libéré et acclamé par cette foule de nouveaux belges. Porté sur ses épaules jusqu’à l’hôtel de ville, il prononcera le vibrant « discours de l’indépendance de la Belgique en 1830 ».
Pourtant, il quitta le pouvoir car il désirait, à la tête de la nouvelle démocratie belge, un homme issu de la révolution, un chef élu au suffrage universel, et non censitaire. Il présidait pourtant le Comité Central du Gouvernement Provisoire de Belgique.
Reconverti en publiciste, il écrivit aussi plusieurs livres pour la liberté d’opinion, les valeurs humaines en sciences sociales et autres pensées d’avant-garde inscrites en filigrane sur la nouvelle carte de l’Europe.
MOTIVATION FAMILIALE « POTTER »
Au départ, il y avait ces discrètes allusions quant à ce « récalcitrant parent rebelle à la mode Robespierre ». Puis le désir de saisir pourquoi, après 1789, ce Louis de Potter clamait encore: « Peuple: indignez-vous des abus dont vous êtes victimes et libérez le bas des Pays-Bas! »
Dès lors, Nicolas de Potter étudia le patrimoine familial enraciné dans les régions de Picardie et des Flandres belge et française. Il désirait s’affranchir des doutes et comprendre l’esprit du chef de la révolution à travers ses origines, bousculées par les guerres et exils frontaliers.
Cette vieille famille, issue de l’apogée des corporations de Renaix et Bruges, puis victime des exodes des métayers de Lille et Courtrai, accumula d’une génération à l’autre dans cet arrière-pays plusieurs frustrations qui alimentèrent la croisade du révolté Louis de Potter vers Bruxelles.
Finalement, en 1830, le brave journaliste provincial réussit à transposer dans la capitale cet ancien complexe familial en «phénomène médiatique». La presse fit une campagne qui résonnait comme un appel fraternel des anciens pour la démocratie. Les forces vives des jeunes campagnards de nos régions transformèrent l’essai du vieil héros, banni de l’histoire, en un vibrant cri de révolte pour la Belgique.
Le livre relie Nicolas (2010) et Louis (1830) à travers 180 ans. La généalogie rapproche les familles depuis l’an 1210 jusqu’en 2010. Ces huit siècles font l’objet d’un chapitre qui exhorte à une nouvelle « aventure belge » et familiale. L’histoire est immortalisée par ce buste de Louis au Sénat tandis que le futur renaît dans ce livre co-écrit par Nicolas.
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