Contrat de Quartier Durable "Liedekerke"

Info

Ce nouveau contrat de quartier: il démarre le 1er janvier 2011 et doit se terminer fin 2014

Geschiedenis

La Région de Bruxelles-Capitale a prévu un budget de 44 millions d'euros pour la revitalisation de 4 quartiers bruxellois, dont un à Saint-Josse. Ces noueaux contrats sont animés par une volonté forte de réussir le vivre ensemble. Priorité à l'environnement et à l'accueil des enfants.

Au fil des réunions et des consultations, comment les citoyens vont-ils s'émouvoir ensemble de l'avenir de leur cadre de vie?
Ce nouveau contrat de quartier implique une approche plus sensible pour établir des diagnostics plus précis et lancer des pistes plus fiables de réalisations, en tenant compte de l'existant.

Les contrats de quartier sont es moteurs puissants de revitalisation car les budgets sont au rendez-vous. En outre, la tendance écologique qui a clairement imprimé les deux contrats tennoodois permet de réaliser de substantielles économies d'énergie. Les habitants qui occupent des logements passifs ou basse énergie volent leurs factures d'énergie (gaz et électricité) diminuer considérablement. Dans le cadre du Contrat de Quartier "Méridien de Bruxelles", plusieurs projets ont été primés comme bâtiments exemplaires (rue Saint-François par exemple).

Le nouveau contrat de quartier Lidekerke va plus loin dans cette logique durable et a choisi le thème "biotÔpes et d'eau " comme fil conducteur. Avec la proximité de la Vallée du Maelbeek, un gros effort sur la verdurisation de certaines rues et toitures plates, l'ouverture de certains ïlots intérieurs qui deviendraient "semi-public" seront les challenges de ces prochaines années.

Chaque contrat de quartier implique obligatoirement l'ouverture d'une nouvelle crèche. Le projet cette fois consisterait à l'héberger une crèche francophone dans un bâtiment unique avec des espaces communs: jardin, salle commune... rue de Liedekerke, 65-69 dans l'esprit des bibliothèques communales, rue de la Limite, 2.

Plus de logements sociaux

Si l'objectif bruxellois ests de dépasser les 15 % de logements sociaux pour rencontrer les demandes des habitants et faire face à l'explosion démographique, c'est plutôt en termes qualitatifs que l'évolution sera sensible à Saint-Josse. En effet, la densité du bâti ne permet quasiment pas de constructions neuves. Il est plutôt question d'assainir et de rénover aux normes du code du logement.