Les Arcades du Cinquantenaire sont un monument érigé à Bruxelles à l'initiative du roi Léopold II, en commémoration du cinquantième anniversaire de l'indépendance de la Belgique. À leur construction, l'homme politique socialiste Émile Vandervelde les appela "les arcades des mains coupées" en pleine Chambre parlementaire, pour dénoncer le financement des travaux par l'argent du caoutchouc congolais .Histoire de la constructionEn prévision de l'organisation de l'exposition et des festivités du Cinquantenaire de 1880, l'ancien champ de manœuvres militaire du plateau de Linthout est transformé en un lieu de foires commerciales et d'expositions. Il prendra le nom de Parc du Cinquantenaire.Les plans de l'architecte Gédéon Bordiau prévoient en son centre la construction d'un palais à usage d'exposition. Les ailes symétriques doivent être reliées par une double colonnade semi-circulaire interrompue par une arcade monumentale. Il faudra attendre vingt-cinq ans avant de voir l'achèvement progressif du palais et du monument se terminer.Les travaux se poursuivent après le jubilé, tandis que le site accueille en 1888 un « grand concours international des sciences et de l'industrie », puis l'exposition universelle de 1897. À cette époque, seuls les pieds verticaux de l'arche sont construits. Le temps et surtout les crédits venant à manquer, ils seront surmontés pour l'occasion d'un arc provisoire, fait de staff, mélange de plâtre et de fibres végétales, sur une structure de bois qui sera démontée ensuite. À l'arrière du palais est bâti un important hall d'exposition vitré sur une structure métallique.
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